On a tous des souvenirs ancrés dans notre cœur. Ces souvenirs brûlants sont comme des repères puissants qui nous permettent de nous orienter.
À l’instar des étoiles, de l’univers et du sens que nous lui donnons, des motifs signant le temps se dessinent à chaque instant, nous rappelant que nous tournons sur nous-mêmes à plus de 1 670 km/h à l’équateur, que nous voyageons à plus de 30 km/s autour du Soleil, tandis que le Soleil lui-même fuse à environ 220 km/s au sein de la Voie lactée, et que notre paysage stellaire nous permet, comme une horloge géante, de nous repérer dans l’espace et dans le temps. Ce mécanisme incroyable a toujours fasciné : l’analyse du ciel a permis de prendre des décisions historiques et, inversement, de comprendre comment les éléments interagissent entre eux.
SPACE MEMORY STUDIO propose l’édition d’œuvres uniques basées sur la position des étoiles au-dessus d’un événement sur Terre, transformant des instants forts en bijoux monumentaux ou de taille réduite, pièces à chaques fois differentes et uniques alliant symbolisme, astronomie et art.

Comment lire les scluptures ?
PHYSIQUE ET ART DANS L’ABSTRACTION
Avec la date, l’heure et le lieu de votre événement, SPACE MEMORY STUDIO recherche l’alignement des planètes, étoiles, galaxies, systèmes stellaires, météorites et autres astres qui se trouvaient à votre zénith à cet instant précis parmi les corps célestes catalogués à l’international. Un document est livré avec l’oeuvre permettant de déchiffrer le symbole.

au-dessus de chaque moment fort, 7 étoiles uniques brillent.
L’ÉMOTION EST PHYSIQUE
L’histoire se raconte à travers une abstraction porteuse de sens. Les événements marquants, qu’ils soient politiques ou émotionnels, relient les personnes par des valeurs communes, l’empathie ou des souvenirs partagés.

une présence sacrée, élégante et immortelle.
LIGNES RÉELLES
Le travail sur la connexion a déjà été initié par l’ artiste Vidya-Kelie. Dans sa pratique, les lignes invisibles des liens humains deviennent visibles : elle trace inlassablement des lignes pour relier les personnes entre elles. Utilisant des outils numériques, qui rendent certains récits encore plus évidents, elle rend hommage à ces connexions en les manifestant dans la réalité à travers des matériaux nobles et puissants.

un rappel de notre lien avec l’espace et le temps.
BURNING BLUE invite à réfléchir à l’immensité du cosmos et à notre place en son sein.
Il symbolise les connexions qui nous relient au passage du temps. Sa présence nous rappelle les mystères qui entourent notre existence. Il est à la fois une porte d’entrée et un miroir, reliant l’univers à notre monde intérieur.
L’OEUVRE EST COLLECTIVE

UN CIEL COLLECTIF
Chaque bijou, de plusieurs mètres à quelques centimètres, devient ainsi un fragment d’univers, signé par l’artiste, reliant l’histoire au cosmique.
BURNING BLUE est une grande composition d’histoires où chaque oeuvre fait grandir un ciel collectif.
Prenant place dans des lieux aux quatre coins du monde, ces cartes stellaires tissent une mémoire universelle faite de récits, de secrets et de confessions.

CONNEXION HISTORIQUE
Depuis toujours, l’humanité scrute les étoiles pour y trouver sens, guidance et origines. Les mythes, d’Orion aux Pléiades, traduisent une imagination cosmique commune. Les astres étaient à la fois divinités et conteurs, rythmant le temps et les rituels.
Historiquement, les astrologues, conseillers puissants des rois et des dieux, ont posé les bases des recherches astronomiques. Les mécanisme comme celui d’Anticythère, les cartes et calendriers témoignent de cette longue quête de compréhension des mouvements célestes.

LA PASSION EST UNIVERSELLE
POURQUOI « BURNING BLUE »
En référence à l’énergie des géantes bleues, leur intensité et leur puissance. Le feu symbolise la passion, le bleu le mystère.
Une grande partie de la lumière émise par ces étoiles éphémères, destinées à exploser en supernova (sur une échelle de 10 à 100 millions d’années), échappe à notre regard car elle se situe dans l’ultraviolet.
Les BURNING BLUE apparaissent alors comme un hommage à cette lumière subtile, sculptant l’espace par des jeux d’ombres et de reflets, caressant les textures et invitant à une contemplation sensible. C’est une célébration silencieuse de cette force immatérielle, fragile et essentielle, qui façonne notre rapport à l’univers.
COORDONNÉES DE HAUTE PRÉCISION
SE CONNECTER A LA CONNAISSANCE DE L'ESPACE

CARTOGRAPHIER L’UNIVERS GRÂCE À UNE BASE DE DONNÉES INTERCONNECTÉE
La recherche astrophysique s’appuie sur d’importantes bases de données regroupant des notifications essentielles et des données croisées. La base SIMBAD (CDS, Strasbourg) recense plus de 11 millions d’objets célestes, tandis que les archives des exoplanètes de la NASA suivent les exoplanètes confirmées et leurs caractéristiques.
Des ressources spécialisées comme le Minor Planet Center (IAU) se concentrent sur le suivi des astéroïdes et des comètes, tandis que les archives GAIA (ESA) fournissent une carte 3D précise de notre galaxie avec plus de 1,8 milliard d’étoiles.
Ces bases de données, interconnectées avec des outils tels que VizieR et NED (NASA/IPAC Extragalactic Database), permettent aux astronomes d’affiner notre compréhension des structures cosmiques et des systèmes planétaires.
TRADUCTION DES DONNÉES ÉQUATORIALES

DONNÉES ÉQUATORIALES ET TRADUCTION GÉOLOCALISATION
Les données équatoriales, définies par l’ascension droite et la déclinaison, sont fondamentales en astronomie (Meeus, Astronomical Algorithms, 1998). Le défi de traduire ces coordonnées célestes en géolocalisation terrestre remonte à l’Antiquité. Les Babyloniens, dès 1000 av. J.-C., enregistraient les positions stellaires sur des tablettes d’argile, tandis que les Grecs et les Chinois utilisaient des sphères armillaires pour cartographier le ciel. Plus tard, l’observatoire d’Ulugh Beg (XVe siècle) et le catalogue stellaire de Tycho Brahe (1602) ont affiné ces mesures. Les avancées modernes, comme le satellite Hipparcos (ESA, 1989-1993), ont converti les données équatoriales en une grille X-Y, faisant le lien entre observations astronomiques et calibrage GPS. Ces efforts historiques et contemporains restent essentiels pour la précision en astrométrie et l’exploration spatiale.
REGISTRE OFFICIEL DES CORPS CÉLESTES







CE DOCUMENT SCIENTIFIQUE ATTESTE DE LA VÉRACITÉ ET DE L’AUTHENTICITÉ DE VOTRE BURNING BLUE
Alors que le Soleil se déplace dans la Voie Lactée à une vitesse estimée à 828 000 km/h, selon les travaux du Dr R. R. Price, la Terre orbite au sein de ce vaste mouvement, tandis que l’univers lui-même s’étend à un rythme accéléré, découverte attribuée à Edwin Hubble. Ce mouvement constant et l’expansion de l’espace garantissent que chaque alignement stellaire est unique, se produisant à un moment précis, jamais reproduit de la même façon.
La possibilité d’alignements d’étoiles à un instant donné au zénith, avec toutes les données astronomiques dont nous disposons aujourd’hui, représente un événement céleste unique. Le mouvement en forme de vortex du Soleil, couplé au suivi précis des positions stellaires, nous permet de certifier ces instants avec une précision inégalée grâce à des bases de données officielles.
Ces données, stockées dans des bases astronomiques sophistiquées, ne sont pas seulement le reflet d’événements cosmiques, mais une certification officielle de l’évolution continue de l’univers.
Le concept d’« horloge cosmique » a été exploré par des scientifiques tels que Roger Penrose, qui a abordé l’idée de l’univers comme un phénomène dynamique évoluant à travers la géométrie de l’espace-temps (Penrose, 2010), et Carl Sagan, qui a popularisé l’idée d’un « calendrier cosmique » pour illustrer les vastes échelles temporelles de l’univers dans ses œuvres et émissions (Sagan, 1980).
Les représentations du mouvement en vortex dans le contexte astronomique sont également fréquemment évoquées dans les théories de la relativité générale et de la gravité quantique, où l’espace-temps lui-même est perçu comme une trame tourbillonnante influencée par la masse et l’énergie (Einstein, 1915).
ASTROPHYSIQUE
ABSTRACTION

LA PRÉCISION DES DONNÉES COSMIQUES ET DES TECHNOLOGIES AVANCÉES RÉVÉLÉES PAR L’ART
En ce moment précis, de puissants télescopes comme le James Webb Space Telescope (JWST), le Very Large Telescope (VLT) et l’Observatoire Keck captent des données depuis l’immensité céleste, alimentant des bases de données d’une extrême précision. Ces bases, enrichies par des projets spatiaux tels que GAIA et le Sloan Digital Sky Survey (SDSS), sont continuellement affinées, offrant une compréhension approfondie des phénomènes célestes.
Des systèmes informatiques avancés traitent ces immenses ensembles de données, garantissant la précision nécessaire pour suivre chaque étoile, planète et événement dans le ciel. Grâce à ces technologies de pointe, les chercheurs décryptent les motifs de l’univers, améliorant en temps réel notre connaissance de l’espace.
La précision de ces outils trace des lignes invisibles à travers le vide — des constellations de savoir gravées entre présence et absence. Chaque calcul devient un trait ; chaque vide, une pause. Dans cette chorégraphie de données et de silence, l’abstraction émerge comme la carte la plus fidèle du ciel.